jeudi 15 novembre 2018

Jean Giono - Les grands chemins

Voici quelques extraits que j'avais soulignés en lisant Les grands chemins, de Jean Giono, dans les années 70. Jean Giono est vite devenu un de mes auteurs préférés.

Jean Giono - Les grands chemins
Éditions Gallimard 1951 (1967) Livre de poche 1091
Photo: Pierre Rousseau - © 2018
Archives Pierre Rousseau


  • Que c'est important la frousse! 16

  • (...) de temps en temps, j'aime partir, c'est très simple. 24

  • (...) je suis un de ceux qui savent apprécier le plaisir d'être entassés. 48

  • Ils me prennent tous pour ce que je suis: un type d'attaque et bon enfant. 49

  • Le bonheur est un travail solitaire. 55

  • Je vis en bonne intelligence avec ce qui m'entoure. 73

  • On a frotté la gomme sur tout: la page est redevenue presque blanche. 110

  • Quand on est bel et bien en présence du problème qui consiste à ce qu’on appelle vivre qui est simplement en définitive passer son temps, on s'aperçoit vite qu'on n’arrive pas à le passer sans détourner les choses de leur sens. 114

  • Il faudrait être resté le cul toute sa vie sur une chaise pour ne pas comprendre qu'on a raison d'être pressé. 127

  • La vie (j’y pense) c'est mille riens. Il y en a qui en font une affaire. Non. C’est peut-être le premier narcisse qui compte. Et pas forcément en beau. 133

  • Je lui dis que moi, je suis un petit. 142 Note dans la marge: vit au jour le jour.

  • Ça sert à quoi de ne pas vouloir prévoir? 143

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