Voici quelques extraits que j'avais soulignés en lisant Les grands chemins, de Jean Giono, dans les années 70. Jean Giono est vite devenu un de mes auteurs préférés.
Jean Giono - Les grands chemins
Éditions Gallimard 1951 (1967) Livre de poche 1091
Photo: Pierre Rousseau - © 2018
Archives Pierre Rousseau
- Que c'est important la frousse! 16
- (...) de temps en temps, j'aime partir, c'est très simple. 24
- (...) je suis un de ceux qui savent apprécier le plaisir d'être entassés. 48
- Ils me prennent tous pour ce que je suis: un type d'attaque et bon enfant. 49
- Le bonheur est un travail solitaire. 55
- Je vis en bonne intelligence avec ce qui m'entoure. 73
- On a frotté la gomme sur tout: la page est redevenue presque blanche. 110
- Quand on est bel et bien en présence du problème qui consiste à ce qu’on appelle vivre qui est simplement en définitive passer son temps, on s'aperçoit vite qu'on n’arrive pas à le passer sans détourner les choses de leur sens. 114
- Il faudrait être resté le cul toute sa vie sur une chaise pour ne pas comprendre qu'on a raison d'être pressé. 127
- La vie (j’y pense) c'est mille riens. Il y en a qui en font une affaire. Non. C’est peut-être le premier narcisse qui compte. Et pas forcément en beau. 133
- Je lui dis que moi, je suis un petit. 142 Note dans la marge: vit au jour le jour.
- Ça sert à quoi de ne pas vouloir prévoir? 143
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