Jean Ferrat, un des mes chanteurs préférés à l'époque (fin des années 60), fait un clin d’œil à Alain-Fournier, l'auteur de Le Grand Meaulnes, dans la chanson «La jeunesse»:
«Quand tu seras ému devant leur joie de vivre
Devant leur soif d'amour quand tu auras pleuré
Devant leur soif d'amour quand tu auras pleuré
Pour un Alain-Fournier vivant le temps d'un livre (...)»
Alain-Fournier, Le grand Meaulnes - Jeunesse Pocket 1963
Photo: Pierre Rousseau - © 2018
Archives Pierre Rousseau
Mais Le Grand Meaulnes est le seul livre dont je n'ai jamais fini la lecture, même si je l'ai recommencé trois fois. Et je ne sais pas pourquoi.
Mais je connais la fin, puisque j'ai vu le film (Le Grand Meaulnes, 1967).
Mais je connais la fin, puisque j'ai vu le film (Le Grand Meaulnes, 1967).
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