lundi 21 janvier 2019

Librairies - Le Palais du livre

En 1976, un nouveau propriétaire rénove un bâtiment du Vieux-Montréal et y installe le Palais du livre. Avec plus de quatre millions de livres neufs et usagés, répartis sur cinq étages, le commerce est considéré comme la plus grande librairie de détail au Canada. En 1983, un incendie majeur détruit tout l’immeuble, seule la façade est sauvegardée. (Source: WEB)

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La Presse, Montréal, Samedi 28 juin 1980 Cahier C


Quatre (4) millions de livres répartis sur 6 étages... Tel était le Palais du livre, à Montréal. C'était ahurissant. J'ai visité à quelques reprises ce lieu, cet univers devrais-je dire, escaladant les escaliers tout en me faufilant entre les piles de livres et de revues encombrant chacune des marches. Le propriétaire achetait pratiquement tout. Je me souviens lui avoir vendu toute ma collection de magazines Pilote, entre autres le Pilote du 4 février 1968, avec la couverture de Greg représentant Achille Talon.


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2 commentaires:

  1. Cëtait le lieux le plus extraordinaire que J'äi jamais vu, et, a 11-13 ans, il m'á marque a tout jamais sur le fait que le pouvoir du livre se situait au dessus de toute les autres choses... J'ai encore 3 livres achetes la-bas, qui ont change ma vie pour toujours, rien qu'en eux meme... J'ai meme ecrit sur ce theme un roman en anglais, "Wrath of Atlantis"", Jean Stravinsky 2018, que Je traduis en Francais en ce moment ("Fureur Atlante")...

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  2. Je saisis l'occasion, je passais moi aussi des weekends entiers au défunt Palais du Livre sur la rue McGill, avant l'incendie et l'arrivée des Renaud-Bray et Archambault...
    Je me souviens y avoir trouvé des BDs qu'il m'est aujourd'hui impossible de retracer.
    La première racontait les mésaventures d'une famille de Vampires qui habitaient dans un château gothique, le tout sous une facture plutôt humoristique, il s'agissait d'un livre à la couverture souple, possiblement, probablement, une réédition d'un original européen, sûrement pas américain en tous cas, les couleurs en étaient vives et les personnages cartoonesques.
    La deuxième BD était dans un format poche, en noir et blanc et racontait les péripéties rocambolesques d'un jeune aventurier en France probablement à la Renaissance soit au XVème ou XVIème siècle. Le trait était vif, à la limite du croquis, et chaque page ne contenait qu'une ou deux grandes cases.
    Attention, cette BD ne faisait pas partie d'une série telle Kit Carson ou Kiwi diffusée à grande échelle, il s'agissait d'une réimpression d'un classique renommé disparu depuis des décennies selon l'introduction.
    Des pistes?
    p.

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