dimanche 31 mai 2020

Politique - Oui

Oui

René Lévesque

Les éditions de l'Homme, Montréal, 1980.

344 pages.


Photo: Pierre Rousseau - © 2020
Archives Pierre Rousseau
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samedi 30 mai 2020

Littérature enfants/jeunesse - Le dernier des Mohicans

Le dernier des Mohicans

James F. Cooper

Avec 8 illustrations en couleurs.

Mulder & Zoon N. V., (1958).

Collection «Série Mulder junior» 3.


Photos: Pierre Rousseau - © 2020
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vendredi 29 mai 2020

Simulacres - Chapitre 17 - L’hermaphrodite

Voici le dix-septième chapitre de Simulacres (Pierre Rousseau, 1995; ancien titre Dague)


17 L’hermaphrodite

Amaël creusa jusqu'au bulbe rachidien, juste en haut de la moelle épinière. Mais il ne put empêcher le liquide de s'échapper des quatre ventricules. Il préleva en une même masse l'hypophyse, le cervelet, l'hypothalamus, l'épiphyse, portant une attention toute spéciale au cortex cérébral, cette substance grise plissée avec ses cent milliards de cellules nerveuses. Il savait que s'il défroissait cette chair, sa superficie atteindrait deux mètres carrés, de quoi couvrir tout le corps, comme une peau. Dans ses mains ensanglantées, il tenait maintenant toute la matière dont la secte avait besoin pour lui verser la somme promise.

Il immergea le cerveau - «cette excroissance, cette tumeur que la nature a exploitée» disait la secte - dans la petite glacière portative remplie de glace concassée. Puis, afin de rendre impossible l'identification du corps, il brisa toutes les dents, et brûla les empreintes digitales. Puis il déshabilla le cadavre et fourra les vêtements dans un sac qu'il irait enterrer très loin.

Amaël aimait découper la chair, briser la mort du corps, afin qu'il ne soit plus identifiable pour les vivants. Car la mort - cette perdition de la vie dans un autre univers - n'avait que faire d'un nom, d'une position sociale, d'une intelligence au-dessus ou sous la moyenne, ou de la couleur des yeux. Dans cette extinction des sens, les messages incrustés dans les atomes s'échappaient de la vie pour retourner aux objets touchés, aux personnes caressées, ou même seulement aimées hors des contacts charnels. 

Même cet homme maigre, dépouillé de tout reste humain, et maintenant devenu carcasse animale, avait laissé, ici et là sur les gens et les choses, et même dans l'air qu'il respirait et que d'autres avaient inhalé après lui, des atomes de son corps. Chaque humain était ainsi fait de millions de morts, de toutes races, de tous pays, de tous sexes.

Amaël fit glisser le caleçon le long des jambes, se préparant à se payer le petit bonheur de mutiler les organes génitaux de l'homme, afin de lui prouver que même mort, il le haïssait. Mais un détail l'intrigua, sans qu'il puisse sur le coup identifier ce que c'était. Il examina plus attentivement ce corps d'homme, le trouvant glabre de visage et de poitrine. Puis il réalisa avec stupeur que c'était le corps d'une femme qui gisait, là, devant lui. Mais en regardant de plus près cette petite dépression bordée de chaque côté par deux replis cutanés, il changea d'idée. Il apercevait un petit pénis de cinq centimètres. Puis il hésita de nouveau en constatant que ce petit organe mâle s'insérait entre des grandes lèvres bien découpées, et largement ouvertes. Il distinguait même l'orifice du vagin et, en soulevant le pénis, l'orifice urétral.

- Une ou un hermaphrodite! jubila-t-il. J'ai le cerveau d'une hermaphrodite! La secte va me donner cher pour cela.

Mais il lui faudra certifier ce qu'il avancerait, car le cerveau, à lui seul, ne prouverait pas le phénomène. Il décida donc de prélever les organes génitaux du cadavre. Il se mit au travail, le coeur fredonnant, heureux de tout cet argent à venir. Et peut-être se ferait-il enfin accepter par la secte! Il découpa le losange du périnée jusqu'à l'anus en tranchant muscles et ligaments. Il coupa allègrement la symphyse pubienne à la base du petit bassin, c'est-à-dire cette articulation fixe des parties inféro-antérieures des deux os iliaques.

Le cadavre qu'il mutilait ainsi était effectivement celui d'une hermaphrodite qui avait préféré garder les deux sexes, sans réellement choisir un ou l'autre. À onze ans, cette petite fille ni belle ni laide, née d'une famille très aisée financièrement, réalisa qu'elle n'était pas tout à fait pareille aux autres jeunes filles de son âge. Mais comme aucun médecin ne l'avait examinée auparavant, et devant l'incertitude de ses observations, elle ne parla de rien à ses parents. Et malgré leur harcèlement à vouloir lui donner une éducation de haute classe, elle développa des aptitudes pour les sports habituellement réservés aux garçons, tels le soccer, le hockey, excellant aussi en natation. Mais à quatorze ans, sa voix mua et des poils poussèrent sur son visage et sur sa poitrine non développée. Sa stature ressemblait à celle d'un garçon. Puis elle s'inquiéta de n'être pas menstruée. 

Pourtant attirée par les garçons, une gêne, voire une honte inexplicable l'empêchait d'avoir des contacts intimes avec eux. D'ailleurs, son physique d'allure masculin attirait peu les regards, et encore moins la convoitise sexuelle.

À cette époque, elle était gênée de son clitoris extraordinairement développé, comme un pénis totalement érectile entre ses grandes lèvres. Et juste sous le clitoris, tout au fond des petites lèvres fortement développées, se trouvait l'orifice de l'urètre, et l'entrée du vagin exactement comme celui d'une femme normalement constituée, mais beaucoup plus étroit.

Lorsqu'elle consulta finalement un médecin - elle était par ailleurs dotée d'une santé parfaite - celui-ci lui conseilla de faire enlever cet attribut masculin. Mais contre toute attente, elle refusa. C'est alors qu'elle décida, à 23 ans, de jouer les deux rôles: satisfaire un homme en le laissant pénétrer en elle, et satisfaire une femme en la pénétrant.

Sachant qu'elle ne pouvait avoir d'enfants - elle n'avait pas d'utérus - elle décida quand même de se faire faire un plus grand vagin. Par des exercices et des moyens mécaniques, elle réussit à allonger son pénis qui perdit cependant de la fermeté en érection.

Mais à cause de l'ambivalence des sexes, et déchirée par deux appels qu'elle ne pouvait satisfaire en même temps - et même si elle se sentait femme avant tout - son esprit s'étiola. Elle devint la proie des hommes qui trouvaient en elle la satisfaction de leurs fantasmes sexuels les plus pervers.

Tout cela se passait dans un village de province. Afin de l'éloigner de cette vie de misère, un parent fit en sorte qu'elle put s'installer en ville. Ainsi, elle put retrouver une paix qu'au fond de son coeur elle recherchait. Maintenant trop âgée pour recouvrer une certaine féminité, et rejetant, pour l'homme en elle, toute forme de rapport à caractère sexuel, elle passa volontairement pour un homme timide et réservé.

Mais toutes ces années de souffrances avaient amoindri son jugement, et toute forme de volonté. Elle resta par conséquent vulnérable à l'exploitation que les autres feraient de ses faits et gestes.

Il n'était donc pas étonnant qu'elle finisse telle qu'elle avait vécu, sans aucune possibilité d'identification.
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jeudi 28 mai 2020

Livres et cahiers pratiques - La dentelle

La dentelle

Andrée-Anne de Sève

Les éditions de l'Homme, Montréal, 1979.

Collection «Artisanat».

176 pages.


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mercredi 27 mai 2020

Histoire - Georges VI, roi du Canada

Georges VI, roi du Canada

Eugène Achard

Librairie générale canadienne, Montréal, 1942.

128 pages.


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mardi 26 mai 2020

Livres et cahiers pratiques - Le livre de recettes faciles à préparer

Le livre de recettes faciles à préparer

de Davis Gelatine.

64 pages.


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lundi 25 mai 2020

Livres et cahiers pratiques - L'âme enfantine expliquée aux mamans

L'âme enfantine expliquée aux mamans

(Du premier âge à 13 ans)

Pierre Dufoyer

Série «Psychologies expliquées» No 1.

Action familiale, Bruxelles, 1953.
Casterman, Paris, 1953.

Plusieurs photographies.

200 pages.




Image trouvée dans ce livre:



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dimanche 24 mai 2020

Livres et cahiers pratiques - Le surviethon

Le surviethon

Vingt-cinq ans plus tard

Récit du surviethon.
Analyse critique.
Techniques de survie.

André-François Bourbeau

Les éditions JCL, Chicoutimi, 2011.

512 pages.


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samedi 23 mai 2020

Littérature française - Le képi

Le képi

Colette

Librairie Arthème Fayard, Paris, 1943.

206 pages.

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vendredi 22 mai 2020

Religion - L'ânesse inconsolable

L'ânesse inconsolable
Parabole pour nos jours

François Beauchesne Thornton

Librairie Granger frères limitée, Montréal, 1957.

204 pages.

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jeudi 21 mai 2020

Littérature enfants/jeunesse - Élection au terrain de jeu et autres contes

Élection au terrain de jeu et autres contes

Béatrice Clément

Collection «Brin d'herbe».

Illustrations de Camie.

Éditions Jeunesse, Québec, 1962.

126 pages.



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mercredi 20 mai 2020

Simulacres - Chapitre 16 - La lettre

Voici le seizième chapitre de Simulacres (Pierre Rousseau, 1995; ancien titre Dague)

16 La lettre


Jaouen Olier relut la lettre arrivée avec son courrier du matin. Il hocha la tête. «C'est malheureux! Je commençais à croire en son innocence!» L'auteur de cette lettre incriminait Tudi Silver d'une façon absolue: la victime elle-même, Hilaire Daumal, avait toutes les raisons de croire qu'un homme, Tudi Silver, attenterait à sa vie dans les prochains jours. Mais, à l'étonnement de Jaouen, il avouait que, parfois paranoïaque, il se faisait peut-être des idées. Mais Jaouen pensa que cette dernière phrase avait été ajoutée pour renforcer la conviction, qu'effectivement, il était en danger. Mais il ne parvenait pas à comprendre par quel cheminement son cerveau arrivait à cette déduction.

Les archives consultées lui apprirent qu'Hilaire Daumal avait été soupçonné du meurtre de sa femme, plusieurs années auparavant. Les enquêteurs avaient conclu à une mystérieuse disparition: la femme - ou son cadavre! - n'avait jamais été retrouvée. Il se demanda s'il existait une relation entre les meurtres de l'hospice et cette disparition. «La femme revenue se venger après toutes ces années?» se demanda-t-il, mais sans vraiment y croire.

La lettre le comblait. Au lieu de les simplifier, ce nouvel élément complexifiait les données, et à un point tel que les espaces vides se remplissaient de plus en plus, facilitant d'autant les contacts entre les éléments. Car pour Jaouen, une enquête signifiait «chaos», et dans le chaos, il existait des relations calculables. Sans exception, les éléments compromettants devaient s'emboîter et tendre à un effet ultime: certifier la culpabilité du suspect. Une seule défaillance, une seule faiblesse des éléments, et Jaouen ne trouvait plus la sortie du labyrinthe. Tout retournait alors dans le vide chaotique.

Jaouen était un tireur d'élite, mais il ne croyait pas à la ligne droite dans un univers à quatre dimensions. C'est pour cette raison que, dans son bureau ou ailleurs, il n'exposait pas les centaines de trophées et de médailles gagnés dans des concours de tir. Il gardait ces pseudo-preuves de la rectilignité dans des boîtes de carton, chez lui, dans le sous-sol. «Pourquoi exposer, moi, un maniaque des labyrinthes, un symbole que je n'accepte pas: la ligne droite tracée par une balle, dans le chaos» se disait-il.

Le labyrinthe était la pierre angulaire de sa théorie sur le chaos, c'est-à-dire là où la courbure d'une trajectoire n'était même pas imaginable. Il y avait bien sûr la prétendue rectilignité de la trajectoire dans le canon du fusil, où même la balistique pouvait opérer ses fantaisistes calculs; il y avait aussi la prétendue courbure de la trajectoire hors du canon, alors même qu'il existait un point de vue où elle était d'une rectitude absolue. 

Il savait que ce n'était pas l'oeil qui décidait du moment de tirer pour atteindre le centre de la cible. C'était un déclic dans sa tête, une sorte de «Vas-y!»: son doigt appuyait alors sur la gâchette en une fraction de seconde, et son cerveau guidait la balle sur la trajectoire en calculant, au fur et à mesure, la vitesse du projectile, son calibre, sa masse, son profil, la distance à parcourir, et peut-être le tremblement imperceptible des pulsations du coeur dans son bras, dans sa main, dans son index.

Il ne pouvait imaginer un jour utiliser son arme contre quelqu'un. «Pourquoi vouloir tuer un homme? Pour sauver ma vie? Ou celle d'un autre?» Il tenta pourtant de percevoir cette fraction de seconde nécessaire pour faire le poids de la valeur d'une vie humaine par rapport à une autre. Mais il savait que dans ces moments d'extrêmes tensions psychologiques, ce n'était plus la vie humaine qui comptait, mais le poids de l'événement décidant de l'arrêt ou de la poursuite de l'action.

«Quelle impression cela me ferait-il de tuer un être humain?» Sur le coup, il n'aurait pas cette sensibilité du remords au bout du coeur, et encore loin de l'esprit. Le remord ne viendra que beaucoup plus tard, quand, après avoir vu des centaines d'êtres humains jouir de la vie, il pourrait envisager tout ce que cette personne n'aura plus jamais.

Et, peut-être, finalement, fera-t-il ce geste d'amener son corps à tuer un autre corps semblable au sien. Car le cerveau était avant tout - et au-delà de toute considération morale ou métaphysique - une arme de défense inventée par la nature pour protéger l'intégralité du corps. Le fusil devenait donc une extension de ce cerveau, un palliatif à court terme à son manque de pouvoirs extra-corporels, pouvoirs qui lui étaient pourtant innés. Et comme avec toute arme de défense, il était aisé de s'en servir comme arme d'attaque!

S'il ne croyait pas à la ligne droite dans la matière, Jaouen savait qu'elle existait au-delà de la pensée. Le cerveau fonctionnait comme un labyrinthe, mais il possédait la clef, le code d'accès, l'algorithme qui lui donnait la possibilité de voyager en ligne droite dans le chaos. Le rêve insensé de Jaouen était donc de parvenir à voyager en ligne droite dans un labyrinthe, car il était certain qu'en se contorsionnant, la matière dans un univers multidimensionnel se réaménageait pour aligner les points comme il fallait. Et voyager en ligne droite, comme le faisait la pensée, c'était abolir la durée. De là viendrait le principe du voyage dans le temps.

Jaouen croyait à ses spéculations futuristes comme si elles allaient réellement se concrétiser sous ses yeux. Mais il n'avait pas la prétention d'y arriver personnellement. Il y travaillait, tel un créateur s'acharnant à compléter une oeuvre qu'il savait n'avoir jamais le temps de finir. L'important, c'était la notion de progression, comme ce temps du verbe où l'action est en train de se produire continuellement, même infinitésimalement. Et cette progression amenait un apport nouveau dans son esprit, et aussi la certitude de faire quelque chose qu'aucun autre humain n'avait fait auparavant.

Il se souvint qu'enfant, il aimait poser au creux de sa main un grain de sable en se disant que personne au monde n'avait jamais regardé ce grain de sable. Il devenait alors l'unique voyeur de ce minuscule morceau d'univers. Ce geste concret lui donnait l'agréable impression d'être un créateur de situations. Il se sentait différent de ces filles plus aptes dans les tâches verbales, alors que lui développait ses aptitudes à contrôler les fonctions spatiales.

À l'aide de son ordinateur, Jaouen s'ingéniait aujourd'hui à chercher l'algorithme du labyrinthe multidimensionnel en imaginant une infinité de matrices superposées. Et, bien sûr, il ressentait par moments cette fierté orgueilleuse d'être le premier à penser de cette façon. «Si je trouve, plus rien ne sera pareil sur cette terre» pensait-il, sans toutefois s'émouvoir. Car cette activité intellectuelle visait surtout à lui procurer un vif plaisir.

Mais il devait quand même s'astreindre à suivre des cours de programmation avancée. Mais tous ces langages évolués et cette pseudo intelligence artificielle le désabusaient. Ce n'était en fait que de vulgaires outils imaginés par le cerveau limité des humains. Il rêvait d'avoir accès à des outils que seul un autre univers pouvait inventer à partir de nouvelles conceptions non pythagoriciennes et non aristotéliciennes. Il lui apparaissait peu probable - mais pas impossible - de trouver un tel algorithme. Il espérait au moins atteindre une équation le rapprochant du début de l'éloignement, comme l'infini se rapproche de l'infini, par opposition.

Son cerveau - et son cervelet - développait donc constamment des stratégies et construisait ses propres programmes dans une espèce d'auto-organisation de ses cellules cérébrales de 0,005mm; il acquérait et mémorisait des informations, et effectuait sur elles des calculs complexes. Par cette mémoire vivante, il devenait bien différent de l'ordinateur.

Mais il n'était pas aisé pour Jaouen de relier, ou plutôt d'interrelier ces différentes structures, soit le chaos, les nombres premiers (la formule de Marcel Pagnol?), et le labyrinthe. Il lui fallait trouver les chemins au niveau de toutes les connexions, en ne laissant rien d'inutilisé, afin que l'ensemble reste ensemble, et qu'aucun fil conducteur ne soit rompu.

Jaouen décida d'aller déjeuner. Lorsqu'il pensait trop, son cerveau faisait des courts-circuits désagréables. Il devait alors le remettre à neuf, le nourrir pour refaire une beauté aux cellules nerveuses en leur donnant les matériaux nécessaires à leur restauration. Et il profitait de ce moment pour regarder, autour de lui, ce monde dans lequel il s'ingéniait à exister sans trop se déplaire.
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mardi 19 mai 2020

Arts et lettres - Jean-Baptiste Roy-Audy 1778-c. 1848

Jean-Baptiste Roy-Audy 1778-c. 1848

Michel Cauchon

Collection «Civilisation du Québec».

Série Arts et métiers.

Ministère des affaires culturelles, 1971.


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lundi 18 mai 2020

Histoire - Drames de l'océan

Drames de l'océan

André Dumetz

Librairie de l'oeuvre Saint-Charles de Grammont
Bruges, 1929.

Illustrations.

16,0 x 24,5 cm; 102 pages.


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dimanche 17 mai 2020

Biographies et vécu - Derrière les manchettes

Derrière les manchettes

Drame de la mère d'un condamné à mort (Caryl Chessman).

Ollivia Sillonville

Beauchemin, Montréal, 1966.

256 pages.


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samedi 16 mai 2020

Histoire - Champlain

Champlain

Marcel Trudel

Fidès, Montréal, 1956.

Collection «Classiques canadiens».

96 pages.


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vendredi 15 mai 2020

Littérature enfants/jeunesse - La ballerine de Majorque

La ballerine de Majorque

Paul-Jacques Bonzon

Hachette, Paris, 1956.

Collection «Nouvelle collection Ségur».

256 pages.


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jeudi 14 mai 2020

Littérature québécoise - La note de passage

La note de passage

François Gravel

Boréal Express, Montréal, 1985.

200 pages.


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mercredi 13 mai 2020

Littérature française - Études et causeries littéraires

Études et causeries littéraires

Deuxième Série

P. V. Delaporte, S. J.

Louis Veuillot, Épistolier
Gresset
Gustave Nadaud, Chansonnier
Poètes de 89

Société de Saint-Augustin

Desclée, de Brouwer et cie, Paris, [1900] s/d.

238 pages.


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mardi 12 mai 2020

Littérature québécoise - Bonheur d'occasion

Bonheur d'occasion II

Gabrielle Roy

Beauchemin, 1947.

536 pages.

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lundi 11 mai 2020

Personnellement - Ma coupe «Bob Morane»


Moi et ma coupe «Bob Morane» (brosse). J'avais 16 ans.

Carte étudiante 1965-1966.

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dimanche 10 mai 2020

Littérature française - Vingt ans après, tome II

Vingt ans après, tome II

Alexandre Dumas

Nelson et Calmann-Lévy Éditeurs, Paris, s/d.

11 x 16 cm. 576 pages.

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Littérature française - Vingt ans après, tome I

Vingt ans après, tome I

Alexandre Dumas

Nelson et Calmann-Lévy éditeurs, Paris, s/d.

11 x 16 cm. 576 pages.

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samedi 9 mai 2020

Littérature française - XVIIIe siècle

XVIIIe siècle

Les grands auteurs français

André Lagarde et Laurent Michard

Collection «Textes et littérature».

Bordas, Paris, 1956 (5e édition).

Nombreuses illustrations et photographies.

14 x 18,5 cm. 416 pages.

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vendredi 8 mai 2020

Livres et cahiers pratiques - Le Québec, un accent d'Amérique

Le Québec, un accent d'Amérique
Petit lexique d'expressions québécoises.

Ce petit lexique d'expressions québécoises est constitué d'extraits du livre
Le Québécois... pour mieux voyager, publié aux Éditions Ulysse, en 1999.

Association nationale des éditeurs de livres, 1999.

10 x 20 cm. 56 pages.


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